Il y a Scarlett, la citadine qui fait la part belle au matériaux chics et feutrés et qui ne laisse rien au hasard dans sa garde-robe.

Un style intemporel avec une pointe boyish un peu stricte qui lui donne du chien ! Pousser la porte rouge piment qui lui donne son nom, enivrez-vous de son parfum et perdez la notion du temps un verre à la main devant une partie de backgammon.

Scarlett, c’est ce côté espiègle à l’affût des dernières adresses de quartier : le cocktail qui fait du bruit, le concert intimiste, le resto ni gastro ni bistro, la balade secrète des amoureux cachés, l’expo sauvage d’un Paris libre et populaire… C’est la sœur contrastée qui affirme son côté sensuel mais aussi masculin.

Elle vous accueille le matin comme une américaine pour un breakfast copieux autour de sa table d’hôte et vous donne tous ses tips et bons plans ; et vous retrouve le soir pour un verre avec musique lounge un brin groovy avant de vous réserver une table dans son resto préféré.

Laissez-vous diriger, elle fait ça d’une main de maître : après tout c’est l’aînée d’une grande fratrie !

Vient ensuite Clarisse, qui a passé beaucoup de temps en voyage et a su puiser ce « je ne sais quoi » de sauvage et de non-apprivoisé.

On la reconnaît bien dans son style chaleureux et cool, presque un peu hippie. Toujours un gros plaid sur le dos et des photos plein la tête. Elle a mille choses à raconter et des objets curieux à présenter.

Etre invité chez Clarisse c’est se sentir presque directement chez soi : on se laisse volontiers s’affaisser dans son Chesterfield, un croissant au beurre d’Isigny à la main, un bouquin dans l’autre, l’esprit qui divague devant son papier-peint qui ouvre sur de nouveaux horizons…

Dans la pièce à vivre ? Banquette rouge, clin d’œil à sa sœur Scarlett et à son road trip dans l’Ouest américain et lumière qui inonde l’espace avec vue sur le Paris qui bouge : c’est aussi ça Clarisse. Elle aime le Paris qui vit.

Toujours à puiser des idées et à se nourrir des rencontres, elle passe la majeure partie de son temps à arpenter les Salons Porte de Versailles.

Bridget, c’est la benjamine.

Elle s’inspire beaucoup de sa grande sœur Scarlett et lui fait entièrement confiance dans le choix de son quartier ! Elle habite juste un peu plus à l'est dans un quartier bobo en pleine gentrification. En vrai "titi parisien", elle ne veut rien rater et suit tout ce qui se passe.

"Bienvenue à Ménilmuche !", cantonne-t-elle à qui veut l'entendre. Entre le Cimetière du Père Lachaise et le Quartier de Belleville, entrer chez Bridget c'est se retrouver dans un lieu plein de charme, de vie, très lumineux et accueillant comme le Ménilmontant des belles années. Poussez la double porte de son hôtel c'est aussi se retrouver au calme. Faites une pause dans le tumulte de ce quartier populaire et bouquinez un temps sur les banquettes près des baies vitrées après une balade Passage des Soupirs. Vous êtes d'humeur gourmande après cette pause à observer les passants ? Demandez-lui ses bonnes adresses de quartier qui n'ont pas pris une ride. Le ventre est plein ? Il est temps d'aller guincher à La Bellevilloise, vous glisse-t-elle.

Même si on aime ce quartier pour sa vie et son rythme, il faut aussi savoir rester à l’abris du bruit parfois. Ses chambres ont été pensées en conséquence et ouvrir la porte d'une de ses dernières c'est découvrir le calme et se retrouver dans un confort absolu propre à la sororité : papier-peint 'nature romantique' et literie de Palace (qui feront rêver mêmes les plus insomniaques), lumière parfaitement réglée et produits d'accueil prêts à libérer leurs bulles de bain. C’est aussi ça le rôle d’un hôtel trois étoiles.

NB : Ne vous étonnez pas si vos repères se perdent… Le parquet en pointe de Hongrie, elle le met au mur, plus précisément sur la tête de lit, elle !

Dans l'ensemble de l'immeuble, toute sa déco sait nous mettre tout de suite à l'aise : un mélange de styles qui se marient bien, un métissage de genres et d'époques... bois vieillis, pierres apparentes, vinyles au mur (Edith Piaf, Charles Trenet, Maurice Chevalier à vous de les retrouver !) et détails broc comme ce bureau massif qui fait office de comptoir de réception, chiné aux Puces avec Clarisse, son autre grande sœur. L’histoire de son quartier, elle y est attachée aussi ; et on retrouve des notes de bleus un peu partout, clin d’œil à l'importance de Ménilmontant dans sa contribution à l'alimentation en eau de Paris. Rue des Cascades, des Rigoles, de la Mare... Vous voyez le lien ? Bridget c'est tout ça finalement. L'inspiration de l'Est Parisien populaire, le bon ratio moderne/ancien avec toujours ce chic/masculin propres à Sisterhood.

On respire et on se sent chez soi. "Oui ! Juste comme ça!" ajoute-t-elle malicieusement.

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